REGARDEZ aujourd'hui Ariel partager l'euphorie douce-amère en Israël à propos de la libération de certains des otages, alors que trois fois plus de prisonniers terroristes palestiniens sont donnés en échange. Le cessez-le-feu de quatre jours tient, mais à quel prix ?
LISEZ l'article d'Asher qui l'accompagne, alors qu'il fait la chronique de l'histoire de l'utilisation de l'aide humanitaire à Gaza – des milliards de dollars – avec presque rien d'autre que le terrorisme, la destruction et la corruption à montrer en échange.
CONTINUEZ de PRIER pour la sagesse dont le gouvernement israélien a tant besoin tandis qu'il navigue dans des négociations difficiles pour libérer son peuple tout en cherchant à démêler et à détruire le MAL qu'est le Hamas au Moyen-Orient.
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Article par Asher Intrater
Aide humanitaire
La question humanitaire à Gaza est un désastre. C'est une question morale qui affecte la façon dont les gens perçoivent la guerre actuelle et qui a aussi fait l'objet de nombreuses manipulations médiatiques et de virevoltes contre Israël. Examinons quelques problèmes :
Qatar – Le Qatar a donné des milliards de dollars au Hamas. Il s'agissait d'une aide humanitaire. La plupart de ces milliards ont servi à construire la haine militaire -terroriste, à l'endoctrinement des enfants dans une haine contre Israël et à soutenir le djihadisme.
L'aide occidentale – L'ONU, l'Europe et l'Amérique ont également donné des milliards de dollars au Hamas. Comme ci-dessus, la plus grande partie n'a pas été donnée au peuple, mais elle a été investie dans le djihadisme radical, la terreur et l'armée.
Iran – L'Iran a également donné des milliards. Avec l'Iran, cela n’a peut-être pas même été étiqueté comme quelque chose d’humanitaire, mais encore une fois, cette aide a été principalement investie dans des milices qui haïssent Israël.
Désengagement – En 2005, Israël a retiré tous ses citoyens et résidents de Gaza, provoquant une évacuation forcée traumatisante de ces 8000 personnes. La plupart d'entre eux ne se sont pas remis du choc du déplacement, même s'ils se sont réinstallés dans d'autres villes israéliennes.
Désengagement des actifs agricoles – Lorsque les résidents israéliens ont été expulsés de force de leurs maisons à Gaza, ils ont quitté les infrastructures agricoles. Rien de tout cela n'a été utilisé ; tout a été détruit par le Hamas.
Désengagement face aux propriétés côtières - De plus, la propriété en bord de mer à Gaza vaut des fortunes. Gaza aurait pu être la Riviera du Moyen-Orient. Cependant, cet atout n'a pas été développé, en raison de l'accent mis sur la haine du djihad.
Emplois en Israël – L’une des sources de revenus constructifs pour les Gazaouis était de travailler en Israël. Plus de 20 000 Gazaouis se rendaient en Israël chaque jour pour travailler et gagner un salaire. Malheureusement, certains de ces travailleurs ont transmis au Hamas des informations personnelles sur les familles juives des communautés du kibboutz, facilitant ainsi leur assassinat.
Frontière égyptienne – Gaza a une frontière avec l'Égypte. Les Gazaouis pourraient techniquement passer par le point de passage de Rafiah pour quitter Gaza. Cependant, l'Égypte a limité leur nombre, parce qu'elle ne veut pas que le djihadisme destructeur de Gaza se développe dans son pays.
Toutes les nations arabes sont fermées – Non seulement l'Égypte a fermé ses frontières, mais tous les pays arabes ont refusé d'accepter l'immigration en provenance de Gaza ou l'assimilation des Palestiniens dans leurs pays. Ils croient que les immigrants palestiniens de Gaza leur causeraient du tort.
Déclenchement de la guerre – Le problème humanitaire pour les Gazaouis a été considérablement exacerbé pendant la guerre. La guerre a provoqué une catastrophe humanitaire. Le Hamas a commencé la guerre. Israël ne l'a pas commencée. Le Hamas voulait la guerre. Israël ne l'a pas voulue. C'est le Hamas qui a provoqué la guerre, pas Israël. C'est le Hamas et le Jihad qui ont causé le désastre humanitaire de la guerre, pas Israël.
Boucliers humains – L'une des pires catastrophes humanitaires de la guerre est que le Hamas tient ses propres citoyens « en otage » comme des boucliers humains. Toute l'infrastructure militaire du Hamas est délibérément placée dans des zones civiles, en violation de toutes les règles du droit international. Les terroristes veulent prendre des photos d'Israël en train de blesser leurs citoyens, afin de blâmer Israël.
Un effort maximum de l’IDF pour protéger - La politique de l'armée israélienne est de faire tout son possible pour ne pas nuire aux civils de Gaza, tandis que le Hamas fait tout pour garder ses citoyens en danger. Le Tsahal s'efforce de protéger nos citoyens. Le Hamas utilise ses citoyens pour protéger ses terroristes. Le Tsahal fait plus pour protéger les citoyens de Gaza que le Hamas.
Couloir humanitaire – Depuis le premier jour de la guerre, avant et pendant l'incursion terrestre, l'armée israélienne a donné des directives aux citoyens de Gaza pour qu'ils quittent la zone de combat. Des couloirs d'évacuation étaient ouverts, en particulier sur la route principale Salah-el-Din et sur la route côtière.
Le Hamas tire sur ses propres citoyens – Cependant, ce corridor n'a eu qu’un succès partiel parce que le Hamas a tiré sur ses propres citoyens. Le désir de garder leurs citoyens comme boucliers a motivé le Hamas à leur tirer dessus pour les maintenir dans la zone de combat, afin d'accuser Israël.
Protection des citoyens de Gaza par le Tsahal – Le couloir humanitaire a été couronné de succès lorsque l'armée israélienne est arrivée pour protéger les citoyens de Gaza. Cela a créé une situation bizarre où les troupes israéliennes protégeaient les Gazaouis qui traversaient le couloir humanitaire, tandis que le Hamas leur tirait dessus.
Hôpitaux, écoles, centres d'aide – À travers Gaza, Israël a découvert des entrepôts d'armes, des munitions, des bureaux de guerre et des entrées de tunnels dans des hôpitaux, des écoles pour enfants et des organisations des Nations Unies. L'utilisation des hôpitaux pour couvrir le terrorisme du Hamas provoque une impasse au niveau humanitaire.
Hôpital Shefaa – Le plus grand hôpital utilisé comme couverture du terrorisme était Shefaa. Israël a mis beaucoup de temps à prendre le contrôle de l'hôpital. L'infrastructure terroriste a été exposée, y compris les tunnels et les zones de détention pour les otages. Au moment d'écrire ces lignes, pas un seul médecin, infirmière ou patient de Shefaa n'a été blessé lors de l'opération.
Sud de Gaza – Au moment de la rédaction de cet article, Israël a permis à la partie sud de Gaza d'être une zone de sécurité. Des installations médicales, de la nourriture, de l'eau, des camps y ont été autorisés. Cette situation pourrait prendre fin lorsque les militants du Hamas fuient vers cette zone pour se regrouper et se réarmer.
Fourniture de pétrole – Tout en provoquant de nombreuses dissensions en Israël, le gouvernement israélien a autorisé les camions de pétrole à entrer dans le sud de Gaza depuis l'Égypte. Nous espérons que ce pétrole sera utilisé pour mener des actions humanitaires et faire fonctionner les installations sanitaires, protégeant ainsi la santé publique. L'inquiétude est que le Hamas s'empare du pétrole pour poursuivre ses opérations militaires.
Stockage de pétrole du Hamas - Cette situation est également bizarre dans la mesure où le Hamas a stocké d'énormes quantités de pétrole sous terre dans son système de tunnels. Rien de tout cela n'est libéré pour aider leurs citoyens. Ainsi, Israël, en danger, facilite l'approvisionnement en pétrole des citoyens de Gaza, alors que le Hamas ne le fait pas.
Libération des otages – Il s'agit d'un sujet complexe qui nécessiterait une autre explication plus longue. Le problème, c'est que le Hamas manipule les négociations sur les otages pour affaiblir Israël et jouer sur l'opinion publique internationale. Le cessez-le-feu leur donne l'occasion de se réorganiser en vue de nouvelles attaques. La libération de 53 otages pourrait entraîner la mort d'autres personnes.
Otages illégaux – La prise d'otages de femmes, d'enfants et de personnes âgées est contraire au droit international. Le viol et la torture de citoyens israéliens par les terroristes sont indescriptibles dans n'importe quel contexte de normes morales humaines.
Les otages ne sont pas proportionnels – Gilad Shalit a été échangé contre 1027 prisonniers palestiniens le 11 octobre 2011. L'un de ces prisonniers était Yehi Sinwar. Alors qu'il était dans une prison en Israël, il est tombé malade et a failli mourir, mais a été secouru par des médecins israéliens. Toute discussion sur la « proportionnalité » est totalement inversée lorsqu'il s'agit d'Israël.
Déplacement – L'un des aspects douloureux de la guerre actuelle est le grand nombre de personnes qui ont dû évacuer leurs maisons. Leur nombre exact est difficile à calculer, mais près des frontières de Gaza et du Liban, cela concerne facilement plus de 1 000 000 de Gazaouis et 150 000 Israéliens.
Nous sommes pour l'aide humanitaire et contre les faux projets d'aide humanitaire qui sont avant tout une couverture d'activités terroristes. Servons de vraies mesures humanitaires pour les Palestiniens. Que la vérité sur les simulacres du Hamas au sujet de l'aide humanitaire envers les Palestiniens soit révélée.